Haitian journalist, Cyrus Sibert - First report of child sexual abuse by U.S. citizen, Douglas Perlitz, at Project Pierre Toussaint in Cap-Haitien, Haiti, April 19, 2007

Cap-Haïtien, le Pédophile et son Centre d’Accueil pour ‘‘Enfants de rue’’.   Cyrus Sibert, AVEC L’OPINION, reseaucitadelle@yahoo.fr Radio Kontak Inter 94.9 F .M. Cap-Haïtien, Haïti 19 Août 2007 La défense de la liberté exige l’intolérance du citoyen face à l’injustice. Même quand les victimes refusent que leur noms soient cités dans la presse, même quand au lieu d’enquêter sur les faits on préfère nous demander plus  de preuves et de porter plaintes, on ne saurait passer sous silence cette situation d’injustice à laquelle font face les enfants ‘‘de rue’’ et/ou ‘‘dans la rue’’ du Cap-Haïtien.   Il existe au Cap-Haïtien, un centre d’accueil qui aussi, constitue un centre d’abus pour les enfants de rue. Dirigé par un américain très connu dans le milieu, ce centre dispose d’un programme bien adapté et offre aux jeunes démunis des rues des possibilités d’épanouissement. On n’a qu’à observer l’évolution de ces jeunes exclus qui fréquentent le centre pour se faire une idée de son utilité. Ils y sont bien encadrés. Les programmes de formation technique et d’encadrement psychologique  sont d’une contribution énorme. De jeunes enfants pauvres arrivent à produire et à créer un revenu au point tel de devenir leader économique de leur famille.   On peut facilement apercevoir ces jeunes gens à la plage, dans les lieux de loisir accompagnés de travailleurs sociaux professionnels. Le centre fait tout pour les aider à réussir leur vie. Dans un pays où l’Etat néglige les plus faibles (pauvres, handicapés, enfants et vieillards), dans une société où il n’existe pas de programmes structurés de prise en charge des enfants sans abris, on ne peut qu’apprécier l’effort de ce centre dont nous nous gardons de citer le nom, pour le moment. Cependant, faute de contrôle de ces initiatives privées par les services de l’Etat, ces genres de centres représentent souvent un espace privilégié pour des détraqués, des pédophiles ou homosexuels. A leurs yeux, les enfants de rue représentent une mine de chair fraîche à exploiter. Les plus petits sont entraînés par ignorance ou manque d’expérience. Il suffit de dire à un enfant : monte dans ma chambre, je vais t’apprendre quelque chose qui te fera du bien. Si tu le fais bien et sans problème et si tu gardes notre secret, je serai ton ami et.... Pour les plus vieux, les adolescents en âge de comprendre, on conclut un marché : Pas de chair, pas de support. Si tu n’acceptes pas de passer la nuit dans mon lit, tu seras obligé de quitter le programme. Le jeune qui refuse n’a d’autre choix que de retourner dans la rue sans encadrement et de voir le programme de financement de ses activités musicales ou sportives suspendu. Mais on peut toutefois renouer les liens. Il suffit de passer chez le Boss et se laisser abuser toute une nuit. Une nuit de plaisir et de douleur. Du plaisir pour le Boss qui utilise toute sorte de produits aphrodisiaques pour augmenter sa performance et de la douleur pour ce jeune de 15 ans qui explique, avec des larmes aux yeux, sa souffrance : Toute une nuit Cyrus ! Toute une nuit, pour le plaisir de cet homme blanc qui ne veut pas en finir !  Un triste témoignage qui ne pouvait nous laisser indifférent. Voir pleuré un jeune adolescent pris aux pièges d’un pédophile homosexuel à cause de la misère est émouvant. Quant au Centre, les jeunes victimes le voient comme un acquis. Grâce à son travail, des démunis sont devenus musiciens, artisans, footballeurs, etc. Même quand ils nous racontent ces abus, ils ne veulent pas que ce programme soit suspendu. Le pédophile responsable semble avoir mis dans leur tête l’idée que s’ils rendent public ces faits il n’y aura plus de Centre. Il fallait voir avec quelle insistance on nous demande de ne pas mentionner les noms du Centre, de son responsable et même pas celui des victimes. Toutefois, l’un d’entre eux promet de témoigner s’il y a une enquête sérieuse sur cette affaire. Alors ce qui est révoltant dans tout cela : Où est l’Etat qui empoche nos taxes ? Pourquoi les responsables haïtiens refusent-ils de contrôler ces centres privés ?  Pourquoi on n’y affecte pas des travailleurs sociaux, des étudiants stagiaires, comme on le fait pour les centres de santé ? Pourquoi les responsables méprisent-ils les démunis de ce pays au point de livrer nos enfants aux bouchers de la pédophilie et de l’homosexualité ? Cyrus Sibert Cap-Haïtien, Haïti 19 Août 2007  Cyrus Sibert vous invite à suivre ses émissions sur 'Radio Kontak Inter' 94.9 F .M., Cap-Haïtien, Haïti. Tel : 509-449-5707 / 509-686-9669 ______________________________________________________________________________ GOOGLE TRANSLATION: The defense of freedom requires intolerance of citizen against injustice. Even when victims refuse to allow their names to be quoted in the press, even when instead of investigating the facts we prefer to ask us more evidence and to bring complaints, we can not ignore this situation of injustice which are face'' street children'' and / or'' street'' Cap-Haitien.  There are at Cap-Haitien, a visitor center which also constitutes an abuse center for street children. Headed by a well-known American in the middle, the center has a well adapted and provides underprivileged youth street development opportunities.One need only observe the evolution of these excluded young people who attend the center to get an idea of ​​its usefulness. They are well supervised. The technical training programs and psychological support are a tremendous contribution. Of young poor children are able to produce and create an income to the point where economic leader to become their family.  One can easily see these young people to the beach, in places of entertainment accompanied by professional social workers. The center is doing everything to help them succeed in life. In a country where the state fails the lowest (poor, disabled, children and elderly), in a society where there are no structured programs of support for homeless children, one can only appreciate the effort of this center which we reserve to name, for now. However, lack of control of these private initiatives by state agencies, these kinds of centers are often a privileged space for the deranged, of pedophiles or homosexuals.For them, street children represent a wealth of fresh meat to exploit. The smallest are driven by ignorance or inexperience. Simply telling a child: up to my room, I'll teach you something that will do you good. If you do it well and without problems and if you keep our secret, and I'll be your friend For older children, teenagers old enough to understand, we made a deal: No meat, no support. If you do not agree to spend the night in my bed, you will be obliged to leave the program. The young man who refuses has no other choice but to return to the streets without supervision and to see the funding program of musical activities and sports suspension. But we can still reconnect. Simply pass in the Boss and be fooled overnight. One night of pleasure and pain. Fun for the Boss that uses any kind of aphrodisiac products to increase performance and pain for this 15 year old explains, with tears in his eyes, his suffering: A whole night Cyrus! Overnight, for the sake of this white man who does not want to end! A sad testimony that could not leave us indifferent. See cried a young teenager took the pitfalls of a homosexual pedophile because of poverty is moving. As for the Centre, young victims see it as a given. Through his work, the poor have become musicians, artisans, football, etc.. Even when they tell us about these abuses, they do not want this program to be suspended. The pedophile responsible seems to have put in their heads the idea that if they make public these facts there will be more than Centre. You should have seen how aggressively we are asked not to mention the names of the Centre's responsibility and not even the victims.However, one of them promises to testify if there is an investigation into the incident. So what is shocking in all this: Where is the state pocketing our taxes? Haitian officials why do they not control these private centers? Why do not affect social workers, student interns, as is done for the health centers? Why do they despise the leaders of poor countries poised to deliver our children to butchers of pedophilia and homosexuality?